vaccination et contre-vaccination

Publié le par Essentielle

   

 

 CALENDRIER DES VACCINATIONS en France

A la naissance

  • BCG : uniquement pour les enfants exposés à un risque élevé (résidant en Île de France ou en Guyane, antécédents familiaux, nés ou issus de parents originaire d'un pays très touché par la tuberculose, vivant dans un habitat précaire, ...)

    Chez les enfants à risque, la vaccination peut être pratiquée jusqu'à l'âge de 15 ans, avec un test par intradermoréaction préalable à la vaccination à partir de l'âge de 3 mois.

  • Hépatite B : pour les enfants nés de mère porteuse de l'antigène HBs. 1ère dose de vaccin dans les 24 heures , associée à l'administration d'immunoglobulines. 2ème et 3ème doses à 1 et à 6 mois, puis contrôle sérologique entre 7 et 12 mois.

A 2 mois

Diphtérie, tétanos, poliomyélite , coqueluche, Haemophilus influenzae b : 1ère injection.

Hépatite B : 1ère injection.

Pneumococcique (Pn7) : 1ère injection.

A 3 mois

Diphtérie, tétanos, poliomyélite , coqueluche, Haemophilus influenzae b : 2ème injection.

Pneumococcique (Pn7) : injection supplémentaire, uniquement pour les enfants présentant une pathologie les exposant à un risque élevé d'infection (prématurité, drépanocytose, infection à VIH, déficits immunitaires, cardiopathie congénitale, ...).

A 4 mois

Diphtérie, tétanos, poliomyélite , coqueluche, Haemophilus influenzae b : 3ème injection.

Hépatite B : 2ème injection.

Pneumococcique (Pn7) : 2ème injection. (3ème injection pour les enfants exposés à un risque élevé d'infection).

A 9 mois

Rougeole, oreillons, rubéole (ROR) : 1ère dose, uniquement pour les nourrissons accueillis en collectivité. (Dans ce cas, la 2ème dose est recommandée entre 12 et 15 mois).

A 12 mois

Rougeole, oreillons, rubéole (ROR) : 1ère dose. (La 2éme dose au moins 1 mois après la 1ère et si possible avant l'âge de 24 mois).

Pneumococcique (Pn7) : 3ème injection. (4ème injection pour les enfants exposés à un risque élevé d'infection).

Entre 12 et 15 mois

Rougeole, oreillons, rubéole : 2ème dose pour les nourrissons ayant reçu une 1ère dose à 9 mois.

Entre 13 et 24 mois

Rougeole, oreillons, rubéole (ROR) : 2ème dose.

Entre 16 et 18 mois

Diphtérie, tétanos, poliomyélite , coqueluche, Haemophilus influenzae b : 4ème injection (qui correspond au 1er rappel).

Hépatite B : 3ème injection.

A 6 ans

Diphtérie, tétanos, poliomyélite : rappel.

Entre 11 et 13 ans

Diphtérie, tétanos, poliomyélite et coqueluche : rappel.

Hépatite B : 3 injections, si elles n'ont pas été pratiquées pendant l'enfance. Les 2 premières à 1 mois d'intervalle, la 3ème, 5 à 12 mois après la 2ème injection.

A 14 ans

Papillomavirus humains (HPV).

Entre 15 et 23 ans

Papillomavirus humains (HPV) : rattrapage si le vaccin n'a pas été administré à 14 ans, seulement pour les jeunes filles ou jeunes femmes qui n'ont pas encore eu de rapport sexuel ou lorsque la vaccination se situe dans l'année suivant le début de leur vie sexuelle.

Entre 16 et 18 ans puis tous les 10 ans

Diphtérie, tétanos, poliomyélite : rappel.

Coqueluche : pour les adolescents n'ayant pas eu de rappel à l'âge de 11 à 13 ans.

A partir de 18 ans

Diphtérie, tétanos, poliomyélite : une dose à renouveler tous les 10 ans.

Rubéole pour les femmes non vaccinées en âge de procréer.

Coqueluche : une dose pour les adultes susceptibles de devenir parents et n'ayant pas été vaccinés depuis 10 ans.

Entre 26 et 28 ans

Coqueluche : une dose pour les adultes n'ayant pas été vaccinés depuis 10 ans (lors d'un rappel décennal diphtérie, tétanos, poliomyélite).

Après 65 ans

Grippe : tous les ans.

 

Sources :

http://vosdroits.service-public.fr/F724.xhtml

 

 

 

   En Californie, sous couvert de santé et de prévention des maladies sexuellement transmissibles, le projet de loi AB 499 pourrait permettre à des enfants, dès 12 ans, de consentir à une vaccination anti-hépatite B ou anti-HPV (maladies sexuellement transmissibles), à l’insu des parents!

Bien entendu, il va sans dire que la vaccination réalisée dans de telles conditions, laisse les parents tout autant responsables pour les dommages qui pourraient en résulter car, rappelons-le, la très courageuse Cour Suprême des Etats-Unis, a octroyé l’impunité juridique totale aux fabricants de ces « produits inévitablement dangereux » (« unavoidably unsafe products »), au motif qu’autrement, ces industries risqueraient de faire faillite, sous l’effet des poursuites.

http://lesmoutonsenrages.fr/2011/09/11/californie-un-inquietant-projet-de-loi-pourrait-permettre-de-vacciner-les-enfants-a-l%E2%80%99insu-des-parents/

 

A voir :

http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com/

 

 

La théorie de la thérapie séquentielle
Un médecin homéopathe Suisse du nom de Jean Elmiger a mis au point une technique et a consacré une grande partie de sa vie à l’expérimenter. Le nom donné à cette technique: la thérapie séquentielle.


La thérapie séquentielle a pour but de débarrasser l’organisme de la pollution chimique des vaccins, des médicaments, de tous produits ayant déséquilibré la santé. Ensuite de supprimer le choc causé par le bombardement chimique quel qu’il soit, l’organisme étant une machine extrêmement sophistiquée et raffinée, ce n’est pas avec un marteau ou une bombe H qu’il faut essayer de le réparer. Il est très important de restaurer l’énergie vitale originale, elle est la source de l’équilibre.

En pratique
Une méthode idéale pour éviter tout problème dû aux vaccinations si cela correspond à vos convictions, serait de ne pas vacciner, mais une alternative s’offre à vous pour pallier aux tracas des administrations qui pourraient refuser d’accepter vos enfants dans le milieu scolaire ou des camps de vacances, etc.

Ce que le Dr Elmiger recommande est ce qu’il appelle la pervaccination, qui consiste en ceci:

Étant donné que la vaccination est un choc, il est judicieux de prévenir l’organisme quelques jours plus tôt, 2 ou 3 jours avant le vaccin, avec une dose de l’isothérapique homéopathique du vaccin en 200 K. Dans ces conditions, le corps reconnaît l’ennemi et lors de l’injection du vaccin, il a perdu son effet de surprise. Un mois plus tard, on donne des doses un peu plus diluées de ce même remède, pour éliminer toute trace néfaste du vaccin (pour votre information, ceci ne ‘’dévaccine’’ pas l’enfant, au contraire, on pourrait dire que c’est une supervaccination, le vaccin homéopathique ayant la propriété de renforcer le système immunitaire et la protection vis-à-vis de la maladie visée par le vaccin allopathique).

Le Docteur Elmiger déconseille la vaccination avant 8 mois: l’enfant, pendant cette période, est protégé par les anticorps de sa mère et l’équilibre de sa santé est encore fragile. Nous ferions exception pour le vaccin H.I.B., vaccin s’adressant à une méningite du nourrisson, à condition de pratiquer en même temps la thérapie séquentielle préventive. À chaque vaccination ou rappel, il faut répéter le même schéma et vous constaterez une réelle différence avec d’autres de vos enfants ou bien avec d’autres enfants de votre entourage. Votre enfant ainsi vacciné développera moins de toutes ces pathologies infantiles qui retardent son développement intellectuel et affectif. Pour ceux qui ont déjà des problèmes de santé, la thérapie séquentielle qui opère un nettoyage inversement chronologique des toxines vaccinales leur sera d’un secours inestimable.

http://www.alternativesante.com/gazette/sections/section.asp?NoSection=12&NoArticle=174

 

Pour en savoir plus :

http://www.drdesforges.com/smartsection+item.itemid+40.htm

 

 

 

 

Publié dans SANTE

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